De la plume à l'oreille session 2014

La nouvelle sélection 2014 des livres du projet littéraire De la plume à l'oreille (Établissements du Bassin de Fréjus/Saint-Raphaël) est arrivée !

5 romans de littérature jeunesse sont en compétition ainsi que 3 bandes-dessinées (une série de trois volumes) :

La Drôle de vie de Bibow Bradley
d'Axl Cendres (Sarbacane, coll Exprim')

Un garçon élevé dans l’Amérique profonde part faire la guerre du Vietnam. La CIA le remarque parce qu’il a un don particulier : il ne connaît pas la peur. La CIA va l’utiliser pour de nombreuses missions en Russie ou à Woodstock !

Roman drôle et percutant !





Déclaration d'anniversaire d'Eléonore Cannone (Océean Editions, coll. Océan Ados)

Un adolescent de 17 ans vit dans une famille peu traditionnelle : il a deux mamans. Il vit dans une famille qui lui transmet des valeurs de tolérance et d'ouverture aux autres. Mais Aurélien est différent, il ne veut pas de la carrière artistique prévue par ses mères.

Max  de Sarah Cohen-Scali (Galliamrd, coll Scripto)

Le narrateur est un bébé, conçu dans l’Allemagne nazi par un couple sélectionné dans le but d’engendrer une race aryenne pure.  Max, le héros de cette histoire raconte sa vie en pouponnière puis son enfance au service du régime nazie. 

Sa rencontre avec un juif polonais lui offre un point de vue différent et le fait évoluer.

On découvre dans ce livre passionnant les horreurs du régime; c’est une mine d’informations sur le programme Lebensborm et sur ce régime totalitaire.

Théa pour l'éternité  de Florence Hinckel (Syros Jeunesse)

Théa, 16 ans, accepte, sous la pression de sa mère,  un traitement novateur qui arrête son vieillissement.

Roman qui traite de la beauté, de l'apparence, du temps qui passe.






Condamné à écrire  de Sylvie Baussier et Pascale Perrier (Oskar Editeur)

Une adolescente, qui a agressé une autre ado, est condamnée à écrire comme alternative à un centre de rétention.

Le train des orphelins  de Philippe Charlot et Xavier Forquemin

Entre 1853 et 1929, environ 250 000 mineurs d'origine caucasienne ont été transportés par chemin de fer de New-York vers l'Ouest pour y être adoptés. Dépossédés de leur nom, de leur culture et de leurs souvenirs, séparés de leurs frères et sœurs, ils sont souvent traités comme de la main d’œuvre gratuite, assignés aux travaux des champs et des mines.